Expert, Commissaire d'avaries, Actuaire
L’expert, le commissaire d’avaries et l’actuaire sont désignés par les sociétés et mutuelles d’assurances, à l’effet d’évaluer le montant du préjudice subi par un assuré à la suite d’un sinistre pour une indemnisation juste et équitable.
Agent Général en Assurances (AGA)
L’agent général d’assurances est un professionnel de l’assurance exerçant l’activité d’intermédiaire pour le compte d’une compagnie d’assurance dont il a reçu un mandat.
Ne pas confondre courtier en assurances et agent général d’assurance. Le courtier est un commerçant inscrit au Registre de Commerce, il reçoit un mandat de son client, c’est-à-dire de l’assuré qu’il représente, il travaille avec toutes les compagnies d’assurances de la place, alors que l’agent général d’assurances est un mandataire d’une compagnie d’assurance.
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Fichier National des Conducteurs Assurés (FNCA)
Le Fichier National des Conducteurs Assurés, par abréviation FNCA est un projet engagé sous l’égide de l’UAR et s’inscrit dans le cadre de la modernisation de la branche Automobile. Il concerne l’ensemble des compagnies d’assurance pratiquant l’assurance Automobile en Algérie.
C’est un outil très utile, en mesure de répondre à plusieurs objectifs, entre-autres, et dans une première étape, application des dispositions réglementaires relatives à l’application du Bonus-Malus (coefficient réduction-majoration de la prime), afin de personnaliser la cotisation d’assurance en fonction de la sinistralité des acteurs (assuré-conducteur) et de créer une équité entre les assurés.
Bancassurance
Bancassurance est un néologisme tiré des mots banque et assurance, qui signifie la distribution des produits d’assurance par l’intermédiaire des réseaux de banques, établissements financiers et assimilés.
Conventions inter-compagnies de l'UAR
La branche automobile en termes de chiffres d’affaires a connu ces dix dernières années une forte croissance, générée par l’augmentation du parc automobile, ce qui a engendré, par voie de conséquence, une augmentation de la sinistralité.
Devant l’obsolescence des méthodes classiques de gestion des recours et en l’absence d’exécution des dispositions conventionnelles interentreprises de règlement des sinistres existantes à même de permettre une certaine fluidité dans le traitement des dossiers, les stocks des dossiers ont continué de croitre d’année en année, lésant tant les intérêts des assurés que des assureurs.
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